La première exposition de Flore Beleva , en 2009 « Silence » est inspirée par la disparition d’êtres chers, et le besoin de retrait de la vie chaotique. Les images en surexposition sont la représentation d’une quête permanente sur le sens à donner à la vie, elles nous ramènent à une certaine fragilité de l’instant , et semblent peintes sur toiles grâce au choix du papier tout en texture.
Le deuxième chapitre surgit quelques années plus tard avec une deuxième exposition « Noise » qui arrive quand la fréquentation avec d’autres artistes l’inspire; La couleur ressurgit, la musicalité de la mise en scène reprend le dessus.
Les photos ont un fil conducteur, dans la vie de tout un chacun . « Life is a game est l’état d’esprit dans lequel se trouve Flore Beleva , après la pandémie. La remise en question devient nécessaire, avec le sentiment que la vie continue et le rire des enfants jouant dans l’eau est un écho à la légèreté , et un plaisir nécessaire après la tumulte.
« Sweet streets sont des instants furtifs, pris sur le vif, sans intention, avec juste une mise en scène propre à l’artiste, en format Polaroid, pour s’amuser à composer avec des couleurs, ou des scénettes.
2009 Exhibition "Silence" at Gallery l'Ebouillanté. Paris
2012 Exhibition "Noise" at Gallery l'Ebouillanté. Paris
2018 Exhibition "Ataraxie" at Artevistas Gallery. Barcelona
2019 Exhibition "Sweet Streets" at Artevistas Gallery. Barcelona
2010: First prize for digital camera "Tatoo" from La Vanguardia
Publications: Book covers for Neoplataforma editions ("un haiku para Alicia" and "el hombre que aprendió a vibrar" by Luciernaga Nova) CD covers for "Songs for gurus"
(ESP) La primera exposición de Flore Beleva, en 2009, "Silencio", está inspirada en la pérdida de seres queridos y la necesidad de retirarse de la vida caótica. Las imágenes sobreexpuestas representan una búsqueda constante de sentido en la vida, nos devuelven a una cierta fragilidad del momento y parecen pintadas en lienzos gracias a la elección de un papel texturizado.
El segundo capítulo surge unos años más tarde con una segunda exposición, "Ruido", que surge cuando la interacción con otros artistas le inspira; El color resurge, y la musicalidad de la puesta en escena toma precedencia.
Las fotos tienen un hilo conductor en la vida de todos. "La vida es un juego" es la mentalidad en la que se encuentra Flore Beleva después de la pandemia. La pregunta se vuelve necesaria, con la sensación de que la vida continúa y la risa de los niños jugando en el agua hace eco a la ligereza y al placer necesario después del tumulto.
"Sweet streets" son momentos fugaces, capturados espontáneamente, con solo una puesta en escena única para el artista, en formato Polaroid, para jugar con colores o escenas.
(ENG) The first exhibition in 2009, "Silence," is inspired by the loss of loved ones and the need for withdrawal from chaotic life. The overexposed images represent a constant quest for meaning in life, bringing us back to a certain fragility of the moment, and seem painted on canvases thanks to the choice of textured paper.
The second chapter emerges a few years later with a second exhibition, "Noise," which arises when interaction with other artists inspires her; Color resurfaces, and the musicality of the staging takes precedence.
The photos have a common thread in everyone's life. "Life is a game" is the mindset in which Flore Beleva finds herself after the pandemic. Questioning becomes necessary, with the feeling that life goes on and the laughter of children playing in the water echoes lightness and a necessary pleasure after the turmoil.
"Sweet streets" are fleeting moments, captured spontaneously, with just a staging unique to the artist, in Polaroid format, to play with colors or scenes.